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Utiliser l’intelligence collective, la vraie ! Selon les normes suisses.

Sebastian Comment 28 juillet 2022 3 Min. de lecture

Lorsqu’un groupe d’individus prend ensemble des décisions intelligentes, on parle d’intelligence collective. Mais attention, il existe différentes formes d’intelligence collective. Et en fonction de la situation, certains comportements sont tout sauf intelligents. Dans le contexte des placements financiers, par exemple, l’instinct grégaire peut s’avérer dangereux. En effet, suivre un meneur comme un mouton sans se poser de questions lorsqu’il s’agit d’investir son argent conduit généralement à de bien mauvaises surprises. En revanche, on peut réellement parler d’intelligence lorsque, dans un groupe de personnes provenant de divers horizons, chacun fait profiter les autres de ses connaissances. Cela permet de prendre de meilleures décisions. En Suisse, nous en connaissons un rayon dans ce domaine.

 

Aucun autre pays au monde ne connaît une démocratie aussi directe que la Suisse. Depuis bien plus de 100 ans, les Suissesses et les Suisses participent aux décisions plus ou moins importantes de l’État, du canton, mais aussi de la commune. Nous avons l’habitude d’avoir une voix et nous l’utilisons. Avouons que nous sommes un peu critiques : depuis 2010, nous avons voté 112 fois au niveau national et nous n’avons dit OUI qu’à 46 reprises (41 %). Il faut donc de bons arguments pour convaincre le peuple suisse.

 

La sagesse des foules

Notre système a ceci de fascinant que nous trouvons presque naturel de voter sur des thèmes parfois extrêmement complexes que même les experts ne saisissent pas dans leur globalité ; par exemple sur les impôts, la santé, l’énergie ou encore la société. Bien qu’à peine un pour cent de la population suisse maîtrise les questions fiscales ou d’énergie, chaque voix compte autant. Le succès de la Suisse, en tant qu’économie mais aussi en tant que société, donne raison au système. En réalité, il ne s’agit pas uniquement pour la Suisse de prendre de bonnes décisions qui aient un caractère durable. Chacun doit aussi se sentir impliqué et assumer la responsabilité des décisions et pouvoir s’y identifier.

La démocratie directe que nous vivons en Suisse depuis des générations n’est finalement rien d’autre que l’expression pure de la « sagesse des foules ».

La notion de « sagesse des foules » nous vient du journaliste et écrivain américain James Surowiecki qui a décrit dans son livre éponyme de 2004 pourquoi (et dans quelles circonstances) les groupes sont plus malins que les individus (titre original : The wisdom of crowds). Malheureusement, il n’a pas cité la démocratie suisse en tant qu’incarnation de sa théorie. C’est certainement un oubli, d’autant que les deux principaux éléments pour que la sagesse des foules puisse voir le jour sont mis en œuvre à la lettre : à savoir la diversité de l’opinion (chacun a une voix) et l’indépendance (vote anonyme).

clevercircles utilise la sagesse des foules

Ainsi, chez clevercircles, le principe de la sagesse des foules est mis à profit pour les investissements de manière simple et intuitive. Le fait qu’il serait judicieux que vous investissiez davantage dans des actions ou des obligations dépend en effet de l’évolution des marchés, par exemple de la hausse ou de la baisse des taux d’intérêt. Personne ne connaît l’avenir, nous devons donc faire des pronostics sur la manière dont les marchés vont évoluer. Et en matière d’estimation, nous obtenons de meilleurs résultats avec des avis indépendants et différents de personnes tout aussi différentes. Chacun peut ainsi participer sur clevercircles et exprimer sa voix. Nous renonçons au jargon financier et posons des questions intuitives. La manière dont nous posons les questions est déterminante pour que chacun puisse y répondre. Dans le cas contraire, il n’y pas de diversité des opinions et nous évoluons de nouveau dans le biotope uniforme des acteurs de la finance et des analystes.

Sur les 10 derniers votes, la communauté clevercircles a fait 8 fois les bonnes prévisions, en moyenne, concernant l’évolution des marchés, et cela a entraîné dans 80 % des cas un surcroît de rendement dans le cadre d’un portefeuille mixte. Vous trouverez d’ailleurs les résultats du dernier vote ici.

Aussi, s’il existe bien un inventeur de la sagesse des foules, c’est la Suisse ! Une communauté qui applique cette intelligence collective dans cette forme pure depuis tant de décennie peut s’en revendiquer.

Nous sommes donc particulièrement heureux de présenter clevercircles comme une invention suisse, élaborée à 100 % en Suisse et adaptée à 100 % aux besoins de la clientèle de placement suisse.

Clevercircles repose sur ce qui fait la force de la Suisse : la qualité, la diversité des opinions et la liberté de décision individuelle.

VOTRE VOIX COMPTE !
Avec clevercircles, vous gérez vos placements et n’êtes pas seulement spectateur.

 

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